La Tontine : un placement aux multiples facettes

Non, la Tontine n’est pas rachetable. Cette contrainte est l’une des clés de la performance de la Tontine. En effet, cet horizon long terme permet aux gestionnaires du Conservateur une liberté et une souplesse uniques. Ils peuvent ainsi se positionner

Non, La Tontine n'est pas rachetable, elle est donc exclue de l'assiette imposable à l'IFI et ce, quel que soit l'âge de l'adhérent.

En cas de décès du souscripteur, le capital est réparti entre les bénéficiaires désignés au titre des bénéfices de mutualité. Afin de protéger ses proches, il est possible de souscrire à un contrat d'assurance-décès et perte totale et irréversible d'autonomie afin que l'assurance verse aux bénéficiaires désignés, l'équivalent de la somme investie lors de l'adhésion à la Tontine.

Non, vous ne connaîtrez le rendement de la Tontine qu'à la fin de celle-ci. C'est le principe : laissez fructifier l'argent au fil du temps. Cependant, la Tontine a présenté ces derniers années de très bons rendements.

Attention, les performances passées, ne présagent pas des performances futures.

La Tontine est sous le même régime fiscal que celui de l'assurance-vie et du contrat de capitalisation. A la fin de la Tontine, les capitaux sont distribués aux bénéficiaires désignés.
La fiscalité est différente en fonction des dates de versement des primes. En effet, pour les primes versées depuis le 27/09/2017, les intérêts sont soumis par les associations mutuelles "Le Conservateur" à un prélèvement forfaitaire de 7,5% non libératoire.
Si les encours, l'année précédant la fin de la Tontine, sont de 150 000€ ou plus, il faudra s'acquitter d'un complément d'impôt sur le revenu jusqu'à 12,8%.
Comme pour l'assurance-vie, l'abattement de 4 600€ pour une personne seule et 9 200€ pour un couple (imposition commune) est applicable.

Non, sauf en cas de Tontine Primes Programmées ou Primes Périodiques.

Le risque réside dans la part d'actions mais cette part est évolutive : la proportion d’actions peut être supérieure à 50 % de l’investissement au début de la vie de l’association, pour ensuite diminuer progressivement. Dans les années qui précèdent le terme, les actions sont finalement arbitrées au profit de valeurs moins dynamiques et plus liquides.